

Il y a des lieux qui appellent à s’installer.
À ouvrir les fenêtres. À respirer plus lentement.
À vivre, simplement.
Avec Living Spaces, nous cherchons à capter cette sensation.
Filmer un lieu non pas comme un décor, mais comme un espace habité.
Montrer ce qu’il offre : un matin lumineux, une sieste à l’ombre, une baignade au bout du chemin.
Nous nous y installons comme si c’était chez nous.
Nous en épousons le rythme, les silences, la lumière.
Nous explorons les alentours, comme le ferait n’importe quel voyageur conquis.
Ce que nous filmons, ce n’est pas seulement une maison.
C’est une manière d’être au monde, là, maintenant.
On filme comme si on y habitait.
living spaces.
La Maison PASSAGE
En février 2025, nous avons posé nos valises pour une semaine à la Maison Passage.
C’est dans L’Atelier, la dépendance en bois noir au bord de la rivière du Crac’h, que nous avons poursuivi notre série Living Spaces. Une semaine d’hiver lumineuse, suspendue.
À peine arrivés, on enfourche les vélos, on file jusqu’au port les mains libres. Le GR34 nous tend les bras, les marées rythment les jours, et l’eau glacée devient terrain de jeu. Le soir, le feu crépite dans le brasero, les joues rosies par l’air frais.
Pensée comme une cabane d’artistes, L’Atelier marie béton brut, baies vitrées et chaleur boisée. Chaque détail invite à ralentir, s’amuser, respirer. Ici, tout semble facile : aimer, explorer, profiter.
Ce film en est un échantillon. Quelques images volées qui traduisent l’esprit du lieu — simple, vibrant, irrésistible.
La Maison Minard
À l’automne 2025, nous avons découvert la Maison Minard.
Un lieu pensé comme un refuge-atelier, tourné vers la mer, où chaque détail invite à ralentir. C’est ici que nous avons débuté Living Spaces, notre série de vidéos immersives filmées comme si l’on habitait vraiment les lieux.
Ce premier film n’en est qu’un fragment — un extrait des images tournées sur place — mais il en capture l’essentiel : la douceur du temps qui passe, le calme, la lumière, l’élan créatif qu’inspire la maison.
Entre béton brut et grandes baies vitrées, piano prêt à jouer et jardin-verger, la Maison Minard respire la liberté. Ici, on compose, on écrit, on s’étire. Et l’on vit, simplement.